La pratique du chemin de Croix trouve son origine dans la liturgie de Jérusalem, d’où les franciscains l’ont ramenée en Occident au Moyen-Age. Mettant ses pas dans ceux de Jésus, le fidèle refaisait lentement le trajet de la Passion, en méditant ses étapes (les « stations ») une à une. Ainsi, la méditation du chemin de Croix s’est introduite en Occident comme une sorte de pèlerinage en réduction, les fidèles reproduisant à l’intérieur de l’église la procession de Jérusalem, avec ses chants, ses rappels historiques et ses moments de méditation.


L’ACAT (Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture) relie le Vendredi saint aux souffrances des victimes de la torture et de la peine de mort. Celui qui se libère, celui qui se laisse libérer des chaînes de l’indifférence et de l’incapacité d’agir, celui-là accomplit les paroles du prophète Isaïe : « Le jeûne qui me plaît, n’est-ce pas ceci : faire tomber les chaînes injustes, délier les attaches du joug, rendre la liberté aux opprimés, briser tous les jougs ? » (Is 58, 6)
 

   

Organisation : Groupe ACAT de l’Ouest lausannois

Pensée du jour

Alors Jésus leur dit : Moi non plus, je ne vous dis pas de quelle autorité je fais cela. (Luc 20,1-8 "v. 8")

Lire la suite Proposé par : Pain de ce jour