Voici une maison bien petite et pauvre!
Il n'y a presque rien dans cette maison. Seuls une veuve et son enfant y vivent. Avec trois fois rien, un peu d'huile et de farine. Et pourtant, c'est là que Dieu envoie Elie le prophète qui a faim. "Prépare-moi d'abord une petite galette" (v. 13) dit-il à la veuve. Et elle accepte de partager tout ce qu'elle a.
Découvrez la suite du récit dans 1 Rois 17, 7-16.
Récit du livre des Rois raconté
Prière
"Nous te confions, toi qui as le coeur grand ouvert, tous ceux et celles qui ne vont pas bien en ce moment. Nous te confions... Nous te remercions pour tous ceux et celles qui nous ont aidés. Nous te disons merci pour..."
Voici une belle rencontre où le partage a enrichi autant Elie que la veuve et son fils. Ils se sont entraidés.
- Pensez à une ou des personnes qui auraient besoin d'aide et à une ou des personnes qui vous ont aidé.
- Dessinez un grand coeur et notez à l'intérieur le nom de ces personnes ou dessinez-les pendant un moment de silence.
- Puis prenez un temps de prière pour les confier à Dieu.
En FamilleS
Vivre ensemble
Réfléchissez en famille à une activité que vous pourriez faire ensemble pour manifester votre solidarité avec d'autres. Par exemple :
- inviter une voisine ou un voisin qui vit seul-e,
- offrir des biscuits faits en famille,
- donner un jouet qu'on n'utilise pas ou plus à une association, à une copine ou un copain.
Découvrir des chants de reconnaissance pour le repas
- Avant le repas, nous pouvons marquer un temps d’arrêt pour dire merci pour cette nourriture qui nous est offerte et reconnaître les bienfaits que Dieu nous offre.
- Selon les préférences, cela peut se vivre dans un temps de silence, on peut allumer une bougie, faire une prière ou chanter.
- Voici deux chants à découvrir en familleS
Ma maison du partage - Petite réflexion biblique
Voici une histoire de partage. Ici, la maison est le lieu de l’échange, de la solidarité, du partage. Elle s’ouvre à l’étranger : Elie. Elle permet d’y vivre ensemble, dans la sérénité, en période difficile : la sécheresse et la famine. Malgré le manque et les affreuses perspectives qui les attendent, elle et son fils, la veuve de Sarepta a fait le pari de la confiance.
En acceptant de nourrir cet homme, elle a fait preuve d'une générosité hors norme et d’une grande ouverture face à un inconnu, un étranger. Elle a choisi une attitude de vie dans un contexte de mort ! Elie, quant à lui, a été prêt à faire confiance à Dieu en demandant de l’aide à une femme qui se trouvait dans une situation de plus grande précarité que lui.